• Marie Philippe Aimé de Golbéry an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Colmar · Empfangsort: Bonn · Datum: 28. Juni [1834]
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: Marie Philippe Aimé de Golbéry
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Colmar
  • Empfangsort: Bonn
  • Datum: 28. Juni [1834]
  • Anmerkung: Empfangsort und Datum (Jahr) erschlossen. − Datierung durch die Veröffentlichung von Golbérys „Biographie universelle et portative“ 1834, seine Wahl zum Abgeordneten des Departements Haut-Rhin im selben Jahr und seine Pläne aus der gleichen Zeit, sich mit Friedrich Schlegel und dessen „Lucinde“ zu beschäftigen, die er z. B. im Brief vom 26. März 1834 äußert.
    Druck
  • Bibliographische Angabe: Casper, Paul: Neuf lettres inédites de Philippe de Golbéry. In: Gasser, August; Ingold, Angel (Hg.): Revue d’Alsace. Bd. 63, Paris 1912, S. 383.
  • Incipit: „[1] Monsieur
    Je rends à la maison Treutel et Wurtz deux exemplaires de ma Notice et je vous demande bien pardon d’avoir [...]“
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-1a-33708
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.9,Nr.31
  • Blatt-/Seitenzahl: 2S. auf Doppelbl., hs. m. U.
  • Format: 20,5 x 13,2 cm
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Golyschkin, Ruth
  • Steffes, Franziska
[1] Monsieur
Je rends à
la maison Treutel et Wurtz deux exemplaires de ma Notice et je vous demande bien pardon d’avoir tant tardé à m’acquitter de ce devoir. Je ne sais comment cela s est fait.
Les journaux vous ont, sans doute, appris que je suis député de mon Departement. Cette mission me detournera pendant quelques mois de mes travaux littéraires
Mon projet a toujours été de passer fort rapidement sur
Lucinde: seulement je voudrais la connaitre [2] Si je puis m’arranger pour aller à Paris par Bonn j en serai bien heureux: Ce sera le chemin des écoliers, et ce que sera plus vrai encore que le proverbe, c’est que j’irai, en effet, trouver mon mai[tre]
adieu Monsieur je suis avec un profond respect
Votre tres humble et très obeissant serviteur
de Golbéry
Colmar 28 Juin
[3] [leer]
[4] [leer]
[1] Monsieur
Je rends à
la maison Treutel et Wurtz deux exemplaires de ma Notice et je vous demande bien pardon d’avoir tant tardé à m’acquitter de ce devoir. Je ne sais comment cela s est fait.
Les journaux vous ont, sans doute, appris que je suis député de mon Departement. Cette mission me detournera pendant quelques mois de mes travaux littéraires
Mon projet a toujours été de passer fort rapidement sur
Lucinde: seulement je voudrais la connaitre [2] Si je puis m’arranger pour aller à Paris par Bonn j en serai bien heureux: Ce sera le chemin des écoliers, et ce que sera plus vrai encore que le proverbe, c’est que j’irai, en effet, trouver mon mai[tre]
adieu Monsieur je suis avec un profond respect
Votre tres humble et très obeissant serviteur
de Golbéry
Colmar 28 Juin
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