• Amable-Guillaume-Prosper Brugière de Barante an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Sankt Petersburg · Empfangsort: Bonn · Datum: 8. Juli [1837]
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: Amable-Guillaume-Prosper Brugière de Barante
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Sankt Petersburg
  • Empfangsort: Bonn
  • Datum: 8. Juli [1837]
  • Anmerkung: Empfangsort und Datum (Jahr) erschlossen. − Ernest de Barante immatrikulierte sich am 17. Oktober 1836 in Bonn und studierte dort auch im Sommersemester 1837. Sein Brief aus Hamburg vom 30. Juni lässt darauf schließen, dass er nach Ende seiner Bonner Studienzeit im Sommer 1837 über Hamburg nach Sankt Petersburg zu seinem Vater reiste.
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-611-38972
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.3,Nr.10
  • Blatt-/Seitenzahl: 2 S. auf Doppelbl., hs. m. U.
  • Format: 15,7 x 10,4 cm
  • Incipit: „[1] 8 juillet St Petersbourg
    mon fils arrive, monsieur, et me dit toutes vos bontés pour lui. il en est reconnaissant [...]“
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Dänekas, Laura
  • Golyschkin, Ruth
  • Müller, Olaf
  • Steinbrink, Gesa
[1] 8 juillet St Petersbourg
mon fils arrive, monsieur, et me dit toutes vos bontés pour lui. il en est reconnaissant et moi fort touché. j’espere que vous conservez quelque souvenir des tems dejà trop eloignés où nous étions liés par de communes affections. je voudrais trouver occasion de vous revoir de passer quelques momens avec vous. j’envie à mon fils le plaisir de votre conversation. je voudrais me flatter qu’il en a recueilli d’utiles directions et le gout des choses de l’esprit. — j’ai à vous remercier plus particulierement du service que vous [2] avez bien voulu lui rendre lors de son depart. il est encore bien jeune et n’a pas su se tirer d’un malentendu entre Mr Klausen et lui. je me plais à croire que les torts qu’il a pu avoir n’ont rien de grave et que vous en avez jugé ainsi
croyez, monsieur, à mon inalterable attachement et à ma consideration distinguée
Barante
mon fils m’a dit qu’à hambourg il avait eu soin de faire transmettre la somme dont vous aviez bien voulu répondre pour lui. je suppose que c’est une affaire terminée
[3] [leer]
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[1] 8 juillet St Petersbourg
mon fils arrive, monsieur, et me dit toutes vos bontés pour lui. il en est reconnaissant et moi fort touché. j’espere que vous conservez quelque souvenir des tems dejà trop eloignés où nous étions liés par de communes affections. je voudrais trouver occasion de vous revoir de passer quelques momens avec vous. j’envie à mon fils le plaisir de votre conversation. je voudrais me flatter qu’il en a recueilli d’utiles directions et le gout des choses de l’esprit. — j’ai à vous remercier plus particulierement du service que vous [2] avez bien voulu lui rendre lors de son depart. il est encore bien jeune et n’a pas su se tirer d’un malentendu entre Mr Klausen et lui. je me plais à croire que les torts qu’il a pu avoir n’ont rien de grave et que vous en avez jugé ainsi
croyez, monsieur, à mon inalterable attachement et à ma consideration distinguée
Barante
mon fils m’a dit qu’à hambourg il avait eu soin de faire transmettre la somme dont vous aviez bien voulu répondre pour lui. je suppose que c’est une affaire terminée
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