• Marie Philippe Aimé de Golbéry an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Kientzheim · Empfangsort: Bonn · Datum: 30.09.1839
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: Marie Philippe Aimé de Golbéry
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Kientzheim
  • Empfangsort: Bonn
  • Datum: 30.09.1839
    Handschrift
  • Datengeber: Frankfurt am Main, Freies Deutsches Hochstift
  • Signatur: Hs-10825
  • Blatt-/Seitenzahl: 1 S., hs. m. U. u. Adresse
  • Format: 4°
  • Incipit: „[1] Monsieur
    Je ne puis m’empecher de regretter amèrement le temps où je m’occupais de vos ouvrages où je ne m [...]“
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Golyschkin, Ruth
  • Steffes, Franziska
[1] Monsieur
Je ne puis m’empecher de regretter amèrement le temps où je m’occupais de vos ouvrages où je ne m étais pas encore voué aux affaires publiques, et je ne puis laisser partir
M le professeur Ritter sans le prier de vouloir bien vous porter ce souvenir de respect et d attachement Conservez moi quelque bienveillance j’y mets un grand prix
Je serais bien heureux de faire le voyage de
Bonn mais sept mois par an à Paris, une gestion de vignes à exploiter, en voila plus qu’il n’en faut pour confisquer un homme. Cependant je n’ai pas la force de renoncer à ce projet et je me sens fortement attiré vers vous. on aime facilement ceux qu’on admire
Je suis avec respect Monsieur
Votre tres humble et tres obeissant serviteur
P de Golbéry député du haut Rhin
Kientzheim près Colmar
le 30 7bre 1839
[2] Monsieur
Monsieur de Schlegel
Bonn
[1] Monsieur
Je ne puis m’empecher de regretter amèrement le temps où je m’occupais de vos ouvrages où je ne m étais pas encore voué aux affaires publiques, et je ne puis laisser partir
M le professeur Ritter sans le prier de vouloir bien vous porter ce souvenir de respect et d attachement Conservez moi quelque bienveillance j’y mets un grand prix
Je serais bien heureux de faire le voyage de
Bonn mais sept mois par an à Paris, une gestion de vignes à exploiter, en voila plus qu’il n’en faut pour confisquer un homme. Cependant je n’ai pas la force de renoncer à ce projet et je me sens fortement attiré vers vous. on aime facilement ceux qu’on admire
Je suis avec respect Monsieur
Votre tres humble et tres obeissant serviteur
P de Golbéry député du haut Rhin
Kientzheim près Colmar
le 30 7bre 1839
[2] Monsieur
Monsieur de Schlegel
Bonn
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