• Ximénès Doudan an August Wilhelm von Schlegel

  • Absendeort: Paris · Empfangsort: Bonn · Datum: 18.05.1835
Editionsstatus: Neu transkribiert und ausgezeichnet; zweimal kollationiert
    Briefkopfdaten
  • Absender: Ximénès Doudan
  • Empfänger: August Wilhelm von Schlegel
  • Absendeort: Paris
  • Empfangsort: Bonn
  • Datum: 18.05.1835
  • Anmerkung: Absende- und Empfangsort erschlossen.
    Handschrift
  • Datengeber: Dresden, Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek
  • OAI Id: DE-1a-33442
  • Signatur: Mscr.Dresd.e.90,XIX,Bd.6,Nr.33
  • Blatt-/Seitenzahl: 1S. auf Doppelbl., hs. m. U.
  • Format: 17,8 x 11,7 cm
  • Incipit: „[1] Ministère des Affaires Etrangères
    Cabinet
    Monsieur,
    je ne veux pas laisser partir ce courrier sans vous dire combien je trouve excellens les [...]“
    Sprache
  • Französisch
    Editorische Bearbeitung
  • Falk, Clio
  • Golyschkin, Ruth
[1] Ministère des Affaires Etrangères
Cabinet

Monsieur,
je ne veux pas laisser partir ce courrier sans vous dire combien je trouve excellens les deux articles que vous avez bien voulu m’envoyer. Le mal est qu’ils arrivent au milieu des préoccupations du procès et que le tapage du moment ne laisse pas assez les oreilles attentives à ce qui est vraiment beau. Je prendrai la liberté d’attendre pour les faire publier un jour de beau temps et de beau soleil où on y fera l’attention qu’ils méritent - Je suis un peu pressé aujourd’hui je n’ai que le temps de vous dire mon tendre respect et ma sincère admiration -
Soyez assez bon pour me donner l’etat exact de
vos publications indiennes - le minist. de l’Instruct. publique est très disposé à y souscrire -
Je prends les affaires en horreur de moment qu’elles m’empêchent de causer avec vous -
Toute la famille vous dit mille tendresses
X Doudan
18. mai 35.
[2] [leer]
[3] [leer]
[4] [leer]
[1] Répondu tout de suite
[1] Ministère des Affaires Etrangères
Cabinet

Monsieur,
je ne veux pas laisser partir ce courrier sans vous dire combien je trouve excellens les deux articles que vous avez bien voulu m’envoyer. Le mal est qu’ils arrivent au milieu des préoccupations du procès et que le tapage du moment ne laisse pas assez les oreilles attentives à ce qui est vraiment beau. Je prendrai la liberté d’attendre pour les faire publier un jour de beau temps et de beau soleil où on y fera l’attention qu’ils méritent - Je suis un peu pressé aujourd’hui je n’ai que le temps de vous dire mon tendre respect et ma sincère admiration -
Soyez assez bon pour me donner l’etat exact de
vos publications indiennes - le minist. de l’Instruct. publique est très disposé à y souscrire -
Je prends les affaires en horreur de moment qu’elles m’empêchent de causer avec vous -
Toute la famille vous dit mille tendresses
X Doudan
18. mai 35.
[2] [leer]
[3] [leer]
[4] [leer]
[1] Répondu tout de suite
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